Témoignage: (Re) donner du sens à sa vie professionnelle

Témoignage: (Re) donner du sens à sa vie professionnelle

Témoignage: (Re) donner du sens à sa vie professionnelle

Si vous vous trouvez à un point de votre vie professionnelle – ou même personnelle – où vous sentez que vous avez besoin d’un petit coup de pouce pour passer à la prochaine étape. Si vous êtes ouvert(e) à revenir aux fondamentaux avant de poursuivre votre réflexion. Si vous n’avez pas pour attente qu’on vous serve une solution, des idées ou un plan d’action tout cuit sans effort, mais à être accompagné et guidé pour trouver en vous les ressources de le faire vous-même, alors lire la suite pourra sûrement vous intéresser.

Ces deux jours d’atelier… (re) donner du sens à sa vie professionnelle:

Je m’y suis rendue le cœur léger, sans trop me poser de questions de type «quoi, comment, avec qui, etc.». Je suis comme une majorité de personnes, je ne vais pas forcément en courant vers des expériences qui me font sortir de ma zone de confort, surtout quand il s’agit en partie de travaux de groupe. Je suis sûre que vous voyez ce que je veux dire.

Mais j’étais vraiment curieuse et reconnaissante de pouvoir faire cette découverte. Et je ne m’attendais pas à l’expérience si spéciale et profonde que j’allais vivre avec ce groupe.

Les 4 participants que nous étions avions tous des profils variés, mais la même envie de pouvoir continuer notre chemin dans la bonne direction POUR NOUS. Quelle qu’elle soit. Car ce que cet atelier ne vous dira pas, c’est ce que vous devez ou ne devez pas faire. Vous ne remplirez pas de questionnaire et on ne vous attribuera pas de profil. Non que ce soit inutile ou mauvais, mais il se situe juste à un autre niveau. Il ne vous dira pas non plus forcément que vous devez changer de vie. Vous arriverez peut-être à cette conclusion ou alors quelques petits changements dans votre vie/activité actuelle suffiront.

Ce que j’ai découvert durant cet atelier «(Re) donner du sens à sa vie professionnelle», ce sont mes valeurs profondes. Oui, je dis bien découvert, car comme vous, je suis capable de m’asseoir à une table, de prendre un papier, un crayon et de lister les valeurs qui me semblent importantes. Est-ce que la liste que j’ai dressée est celle que je me serais imaginé écrire? NON! Et c’est là pour moi la réelle plus-value de cet atelier. Non seulement au niveau de cet acte fondamental de détermination des valeurs, mais pour tout le reste du processus qui a suivi: Solenne, par la méthodologie qu’elle applique et son expertise en la matière, a pu m’amener (et les autres participants aussi) là où je ne pensais pas aller. J’ai pu, totalement naturellement et sans qu’on me suggère quoi que ce soit, accéder à des choses auxquelles je ne serais jamais arrivée seule.

Et travailler dessus, pour poser les fondements de mes futures réflexions. Solenne a su nous mettre en confiance et nous accompagner de manière très professionnelle et juste. Elle a su nous expliquer clairement les tâches auxquelles nous allions nous atteler, nous rassurer si celles-ci nous paraissaient trop étrangères, nous accompagner durant les travaux en binôme en étant là de manière discrète, mais toujours opportune pour débloquer une situation ou nous poser la question qui nous ferait avancer. Sans jamais nous influencer.

Durant cet atelier, je ne me suis pas sentie mal à l’aise, je ne me suis aucunement sentie jugée. J’ai apprécié, j’avoue, partager cette expérience avec des personnes que je ne connaissais pas du tout. Qui l’eut cru!

Durant cet atelier, j’ai découvert des choses sur moi qui m’aideront pour la suite de mon chemin professionnel. Mais pas uniquement. Car les choses qu’on y fait et desquelles on parle ont finalement une importance et une résonance qui vont bien au-delà de la sphère pro.

Est-ce que je sais ce que je vais faire (alors que je n’avais pas de projet particulier en arrivant), dans quel délai, où et avec qui ? Non. Et honnêtement dans mon cas précis, je n’avais pas cette attente ! Mais est-ce qu’avoir participé à cet atelier va m’aider dans ce processus ces prochains mois ? J’en suis certaine ! J’avais pour attente de lancer une réflexion, de chercher le chemin. Et bien j’ai tout en main pour le faire. Peut-être rapidement. Peut-être pas. Mais en tous cas sur une base solide.

La suite…

Et oui, ce n’est pas fini, Solenne ne nous lâche pas dans la nature ! Nous allons nous retrouver dans 2 mois et puis encore une fois plus tard, pour faire le suivi. Et j’ai vraiment hâte de découvrir les changements pour chacun!

Je suis heureuse d’avoir participé à cette aventure. De ne pas avoir trop réfléchi, d’avoir osé, d’avoir été curieuse et de m’être laissée porter. Je suis reconnaissante d’avoir rencontré des personnes avec qui j’ai passé de super moments, de sérieux, mais de rigolade aussi, en me sentant respectée. Je remercie infiniment Solenne pour son professionnalisme, son expérience, sa bienveillance et… son petit grain de folie!

Céline

Donner du sens à sa vie professionnelle

Donner du sens à sa vie professionnelle

Donner du sens à sa vie professionnelle

c’est:

  • Trouver un équilibre général dans sa vie et encore plus entre sa vie privée et sa vie professionnelle
  • Être heureux.se de se lever le matin pour réaliser ses tâches
  • Répondre à ses besoins
  • Pouvoir entendre plus facilement les besoins des autres et les respecter
  • Nourrir ses propres valeurs fondamentales
  • Comprendre la direction que nous désirons donner à notre vie et y cheminer
  • Pouvoir se positionner face aux autres et à soi-même, dans la douceur et la fluidité
  • Oser dire non quand ça ne résonne pas, quand ça ne sonne pas juste
  • Profiter de la vie et de l’instant présent

Au-delà de ces quelques points, je me rends compte combien il est essentiel à son bien-être psychologique de pouvoir donner du sens, encore plus dans des situations comme celle que nous vivons actuellement:

Soyons francs, la période que nous traversons aujourd’hui est morose. Si la première vague a été plus «facile» à passer car le soleil brillait, c’était nouveau et nous en avons profité pour prendre du temps là où nous ne l’avions pas fait jusqu’alors, cette deuxième vague est beaucoup moins agréable: notre entourage est d’avantage impacté par le virus, le ciel est gris, l’affection physique de nos proches commence fortement à nous manquer et nous en avons moralement «marre». Cela nous pèse et nous use. Nous avons beau aimer nos enfants et/ou notre conjoint, vivre en vases clos, c’est un équilibre à retrouver et c’est loin d’être une sinécure…

À travers ces lignes, je me rends compte que je suis heureuse d’avoir fait ce chemin il y a quelques années, d’aller chercher le sens que je souhaitais donner à ma vie professionnelle. Durant ce cheminement, j’ai posé des mots et des maux. Cela me permet, aujourd’hui, d’être nourrie à travers mes activités. Ça rend cette période plus légère et plus digeste. Ça m’apporte des petits moments de bonheur que je peux partager, avec vous.

MERCI d’être là, merci de m’accompagner pendant cette période. Merci, à vous qui me suivez, qui me lisez et/ou qui venez en séance de coaching, pour votre soutien. Tout cela donne à ce contexte une texture beaucoup plus douce et un goût bien moins amer.

Prenez soin de vous et du sens que vous donnez à votre vie.

Authentiquement,

Solenne

Saisir la balle au bond

Saisir la balle au bond

Coaching et élan final

Il y a de ces propositions qui ne se refusent pas. Il y a de ces propositions qui nous stimulent. Il y a de ces propositions qui nous nouent le ventre. Et il y a celles qui réunissent ces deux derniers aspects en même temps. C’est là que ça se complique et qu’un élan particulier est demandé.

Il y a plusieurs mois, la proposition de donner un cours de 2 jours «Bases Coaching», à des adultes, m’a été faite. A ce moment-là, ça fait grave boum boum dans mon cœur: Quel plaisir ça doit être de pouvoir transmettre des informations, des connaissances et des partages d’expériences à des participants en soif d’apprentissage! Quand je m’y projetais, le tableau était beau et si agréable! Une incroyable possibilité de sortir de ma zone de confort et d’aller découvrir, encore plus loin, qui je suis et ce que je suis capable de faire. Quel joli défi!

C’est à ce moment-là, bien entendu, qu’une belle alerte émotionnelle est montée en moi: stress, crispation et mal de ventre. J’avais le trouillomètre à zéro et aucun élan! Ce petit rappel de mon égo ou mon intellect (mettez-y le mot qui vous convient), qui vient gentiment me titiller et appuyer sur le bouton qui fait mal: «Qui es-tu Solenne pour te prétendre être capable d’apprendre des choses aux autres?, «Es-tu bien sûre d’avoir les connaissances et l’expérience nécessaire?», «Il y a tellement de gens qui ferait ça bien mieux que toi». Problème de légitimité dites-vous? Syndrome de l’imposteur? Ha oui effectivement, ça me dit vaguement quelque chose (humhum…)

Après discussion avec des personnes de confiance qui m’ont donné de l’élan, avec celle qui m’offrait cette opportunité et qui, somme toute, n’aurait pas fait cette proposition à quelqu’un qu’il n’estimait pas être capable (du moins je l’espère) ainsi qu’un long dialogue (monologue ?!) avec moi-même, j’ai pris la décision de relever le défi. C’est parti pour un voyage dont je connais la destination mais absolument pas les conditions climatiques.

Je me suis donc lancée dans la rédaction d’un support de cours et j’ai pu constater, à travers les différentes lectures que j’ai faites dans ce cadre, que cela était facile et que j’avais beaucoup de plaisir à le faire! De ce fait, je me suis découverte une capacité que je n’aurai même pas osé imaginer. Première prise de conscience: en sortant des sentiers battus, non seulement on découvre le trésor tant attendu mais il y a également de fortes probabilités d’en découvrir d’autres, tout au long du chemin, puisque notre regard se porte sur un environnement inconnu.

Ensuite, il a été nécessaire pour moi de «fabriquer» ce cours, en termes de contenu, de rythme, d’exercices, de pause, etc. En d’autres mots, créer un déroulé pédagogique sans aucune connaissance spécifique dans la formation d’adulte, mais entourée des personnes compétentes en la matière qui ont pu m’aiguiller et m’accompagner dans ce processus. Il n’est pas nécessaire de vous dire que mon égo a refait surface à ce moment-là… «Comment Solenne oses-tu continuer dans ce projet sans avoir de formation d’adultes, comment oses-tu?». Ce dialogue ne s’est jamais arrêté, j’étais juste capable de le faire taire, par moment. et l’objectif me semblait encore si loin!

Jusqu’à ce vendredi soir. Ce vendredi soir qui annonçait que le lendemain matin, j’allais prendre la casquette de formatrice. Casquette que je n’avais jamais, à ce jour, posée sur ma tête. Là, je me suis pris un train. Non, un TGV en pleine tronche! Toutes mes croyances limitantes ont resurgi mais puissance mille. Mon égo également, avec tous les symptômes physiques que cela peut engendrer. Comme si je m’apprêtais à faire un saut à l’élastique et que là, j’y étais, je suis sur le bord, tout le matériel est en place et il ne reste plus «qu’à» sauter, à donner l’élan final. C’est cet instant-même qui déterminera toute la suite, à savoir de le faire, ou non. À ce moment-là, justement, je n’avais plus envie. L’élan, je ne voulais pas le donner, je voulais faire marche arrière, ne jamais avoir pris cette décision de tenter quelque chose de différent. J’aurai rêvé de trouver, par magie, un/e autre formateur/trice pour le donner ce fichu module. J’ai lâché prise sur ce stress et ces angoisses qui m’envahissaient et j’ai pleuré à chaudes larmes. C’était un mal pour un bien, ça m’en a libéré d’une certaine manière.

Je ne vous cacherai pas que ces 2 journées de formation n’ont pas été qu’une partie de plaisir: le temps de trouver sa place, son style. De gérer le temps, les questions. De prendre confiance en soi, en ce qu’on dit. Et d’encaisser physiquement le stress vécu qui engendre, chez moi, fatigue et maux d’estomacs.

Cette expérience ne peut que me confirmer, même si je le savais déjà, o combien il peut être difficile, mais VRAIMENT difficile, de sortir de sa zone de confort. Cela nous pousse dans nos retranchements, dans des états émotionnels loin d’être confortables et dans des peurs angoissantes. On se retrouve seul/e, seul/e face à soi-même. Face à nos doutes, à nos craintes, à nos croyances et à la valeur que nous nous portons. L’intensité sera évidemment proportionnelle à l’objectif et à l’importance qu’on lui porte (dans mon cas, importance haute. Avais-je réellement besoin de l’écrire?!).

Aussi forte sera cette étape, aussi fortes seront les émotions qui la suivront: Je viens de la terminer cette 2e journée. Je l’ai fait! Et je l’ai bien fait! Non, ma prestation n’était pas parfaite, oui il y a des pistes d’amélioration et oui j’ai été stressée et crispée. Mais je l’ai fait et ça, ce n’est pas rien. Je peux être fière de moi, je suis fière de moi, j’ai le droit de le dire et même de l’écrire. Je me sens heureuse, émue et nourrie par tous ces échanges riches. Autant j’ai apporté quelque chose à la vingtaine de participants/es présents/es, autant chacun et chacune d’entre eux/elles m’a permis de grandir et de découvrir tellement de choses en moi! J’ai une gratitude sincère pour ce que je viens de vivre et de partager. Je ne peux pas encore dire que mon égo avait entièrement tord et que, dorénavant, je n’aurai plus ce type de réflexions mais c’est certain que ce dialogue interne n’aura plus, à l’avenir, un volume aussi élevé et, de ce fait, autant d’impacts émotionnels désagréables et apprenez de nouvelles choses. Cela m’a permis, par-contre, de tordre le cou à certaines croyances, ce qui aura des répercussions dans d’autres domaines de ma vie, où elles pouvaient avoir une influence négatives inconscientes.

Je termine ce challenge avec un goût agréable, positif et enivrant, le sentiment d’avoir grandi et de continuer à avancer sur ce chemin qui est le mien. Il est jonché de grosses pierres parfois, tout lisse à d’autres moments. C’est cette variété de couleurs, de reliefs et de difficultés qui lui donne toute sa saveur. Je suis humaine et suis donc composée de toutes les émotions qui vont avec, les bonnes comme les moins confortables. Et que c’est bon!

Vous savez quoi? La bonne nouvelle dans tout ça, c’est que j’ai envie de recommencer mais chuuuuut, c’est un secret!!!

Et vous alors, c’est quand que vous le donnez cet élan final et que vous vous lancez dans le vide (avec un filet bien entendu)?

Authentiquement

Solenne

Perdre son feu sacré – Coaching professionnel et coaching de vie

Perdre son feu sacré – Coaching professionnel et coaching de vie

Perdre son feu sacré et coaching

Il y a des appels téléphoniques qui font tout bizarre… Il y a cet appel où on m’a proposé d’écrire un article, moi qui suis persuadée de ne pas savoir écrire… Jolie croyance limitante, n’est-ce pas?

J’ai choisi de faire face à mes peurs, celles qui me disaient que je ne serai pas à la hauteur, que ça sera nul, que les gens vont se moquer ou encore simplement la peur de la page blanche… Je suis sortie de ma zone de confort et je suis fière d’être allée au-delà de ce que je pensais être capable, j’ai développé un nouveau potentiel.

Je suis heureuse aujourd’hui de pouvoir vous partager mon tout premier article.  J’espère qu’il vous plaira. Il a été écrit avec les valeurs qui me sont chers: Authenticité, liberté et plaisir.

Merci à la Voix des Femmes et à Virginie Claret de m’offrir cette magnifique opportunité de me dépasser et pour leur confiance.

IL FÛT UN TEMPS OÙ JE L’AVAIS PERDU CE FAMEUX FEU SACRÉ. Je n’étais pourtant pas si mal que ça, j’avais «tout pour être heureuse»: Un conjoint aimant, une maison, des enfants et un bon travail. Le tableau idéal de la famille parfaite me direz-vous… La face visible de l’iceberg vous dirais-je.

Mon titre d’économiste d’entreprise en poche, je m’étais jetée sur un emploi qui «paraissait bien aux yeux de la société et de ma famille». Je me suis enfermée, à travers mon éducation, dans un carcan de valeurs qui n’étaient pas les miennes. L’envie ultime était d’avoir un statut social et un confortable salaire. Je n’étais qu’une pâle caricature de moi-même. Une nana qui ne désirait qu’une seule chose: qu’on l’aime pour cette image purement matérielle et superficielle. Une femme parfaite et forte, du moins sur le papier, qui réussissait professionnellement. Une femme qui n’est jamais ni en colère, ni triste mais exclusivement dans son mental (douce chimère), l’archétype de la working girl.

Mais un jour, ce fameux travail perdit de son sens, j’étais démotivée, en manque de reconnaissance et j’avais la désagréable sensation d’en donner toujours plus sans rien recevoir en retour. Métro-boulot-dodo, j’étais débordée, et l’envie de me lever le matin diminuait de jour en jour. Je n’avais du temps ni pour mes enfants, ni pour moi. Le mot «vite» devait apparaître dans la presque totalité de mes phrases. J’étais absorbée par un tourbillon sans véritablement comprendre ce qui m’arrivait.

Malgré tout cela, j’étais convaincue que la vie était ainsi et qu’il fallait travailler durement pour «mériter» sa place. Ma vie n’était ni meilleure ni moins bonne que celle du voisin après tout. Je me cachais derrière mon confort de vie, à me complaire dans ma position de victime, car oui, je râlais souvent sur toutes les petites choses du quotidien qui prenaient des proportions invraisemblables. En une phrase, j’étais totalement inconfortable dans ma zone de confort.

Jusqu’au jour où mon corps a choisi de me trahir. Il m’avait déjà montré des signes : troubles alimentaires, insomnies, épuisement, larmes, panique… À force de me répéter «Je suis forte, cela n’arrive qu’aux autres, ça ira mieux après les vacances, patati patata» mon physique a décidé de me lâcher, certainement pour mieux me sauver.

En terme médical, c’est ce qu’on appelle un burnout: Du jour au lendemain, il ne m’était plus possible de sortir de chez moi. Chaque pas vers l’extérieur ou vers autrui me ramenait à un fort sentiment d’insécurité et d’angoisse. Les larmes coulaient sur mes joues à longueur de journée sans trouver un seul moyen pour les arrêter.

Plusieurs mois délicats ont suivi. J’ai eu besoin, dans un premier temps, d’accueillir avec bienveillance ces émotions chargées et dans un second temps, d’accepter ce sentiment d’être perdue et de ne plus savoir qui j’étais. Ensuite, j’ai décidé de partir à la recherche de moi-même.

Accompagnée par les personnes dont j’avais besoin, j’ai, d’abord, fait un travail de deuil : J’ai dit au revoir à cette Solenne que je n’étais plus et que je n’avais jamais réellement été.

ENSUITE, J’AI PRIS MON PIC À GLACE ET JE SUIS ALLÉ CHERCHER AU PLUS PROFOND DE MES ENTRAILLES Ce qui permettrait à mon cœur de retrouver son feu sacré. Ce n’est pas un travail évident, se retrouver face à soi-même, à ses limites et sa vulnérabilité, à toute cette glace qu’il est nécessaire de briser pour voir apparaître cette douce lumière jaune et rouge qui crépite. Ça fait mal, très mal..

Concrètement, j’ai arrêté d’avoir des attentes à l’égard des autres, je vis pour moi car JE suis ma priorité. J’ai appris à écouter mes besoins, à me respecter et à ne plus vivre à travers le regard des personnes qui m’entourent. J’ai déjoué ma croyance que tout le monde valait mieux que moi, j’ai repris confiance en moi et j’ai découvert qui j’étais, afin de ne plus avoir ce désagréable sentiment d’être le vilain petit canard (Coin coin) toujours à côté de la plaque.

Que se passe-t-il quand cette armure tombe? Et bien simplement la sensation d’être à SA place TELLE UNE FLAMME AU BOUT D’UNE ALLUMETTE. Je sais maintenant qui je suis. Quelle réussite de savoir ce que j’aime et ce qui me fait vibrer, cela me permet de me lever tous les matins sans avoir l’impression de travailler. Quand le feu sacré est là, tout devient comme une évidence!

Cette transformation a eu un tel impact dans ma vie, que j’ai décidé d’en faire quelque chose pour les autres à travers MON feu sacré: le coaching de vie. Mes sessions s’adressent aux êtres qui sont dans une démarche d’évolution privée ou professionnelle, qui souhaitent passer à l’action. Des âmes qui ne désirent plus se mentir à elles-mêmes et qui ont un profond besoin d’authenticité et de simplicité dans leur vie. À travers mes stages, faits d’un joli melting-pot de tout ce que j’ai pu expérimenter jusqu’à présent je désire apporter de la légèreté, du bonheur, un peu de folie et une expérience nouvelle. Je souhaite que les personnes repartent rayonnantes, en ayant le sentiment d’avoir vécu quelque chose d’unique, de différent. Avec la satisfaction d’avoir fait un cheminement intérieure et d’avoir découvert un trésor: leur propre étincelle.

Si j’ai pu entreprendre cette métamorphose, c’est que vous en êtes également capable. C’est un magnifique chemin, certes jonché d’embûches, mais il n’y a rien de plus beau que de partir à la découverte de la personne que nous sommes vraiment. Une fois ce feu retrouvé, il irradiera tout votre être, une nouvelle vie s’offrira à vous.